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Résultats de l’appel à projets Maupertuis 2022

En 2022, le programme Maupertuis financera 25 chercheurs pour des mobilités courtes et 3 ateliers de recherche franco-finlandais.

L’appel à projet Maupertuis vise à renforcer la coopération bilatérale dans les domaines de la science, de l’innovation et de l’enseignement supérieur en finançant la mobilité courte de jeunes chercheurs entre institutions françaises et finlandaises et en soutenant l’organisation d’ateliers franco-finlandais dans un domaine de recherche d’excellence. Ce programme est soutenu par l’Institut Français de Finlande, l’Ambassade de France en Finlande et le ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation en France en partenariat avec la Société Finlandaise pour les Sciences et les Lettres et l’Académie finlandaise des Sciences et des Lettres. Cette année, le comité de sélection a retenu 25 dossiers pour des mobilités courtes et 3 ateliers (2 en Finlande et 1 en France).

Les thématiques des ateliers recherche/ enseignement/ innovation sont :
  • Spectroscopie gravitationnelle et interférométrie avec des atomes et des neutrons ;
  • Nouvelles approches d’imagerie pour optimiser la résolution dans de nombreux domaines de la physique des ondes (sismologie, acoustique et imagerie médicale),
  • Sensibilisation à l’approche dite de « dialogue ouvert » en psychiatrie.

Parmi les 25 chercheurs qui pourront effectuer une mobilité courte de recherche cette année, 17 sont de jeunes chercheurs (doctorants et Post Doc) et 10 sont des femmes. Les domaines de recherche couverts sont très variés et vont de la biologie et biotechnologie, aux TIC, à la chimie, aux mathématiques, à la physique, en passant par l’histoire, l’anthropologie, la musicologie, l’agro-écologie, la géophysique et les sciences de l’ingénieur. 15 chercheurs iront de France en Finlande (Universités de Helsinki, Tampere, Jyväskylä, Lappeenranta-Lahti, Abo Akademy, Aalto) et 10 chercheurs iront de Finlande en France (CNRS, INSERM, INRAE, EHESS, IRCAM, Universités de Strasbourg, Grenoble Alpes, Bordeaux Montaigne, Paris Saclay, Sorbonne, etc.).

Ces mobilités concernent souvent de nouvelles collaborations scientifiques qui permettent le développement potentiel, à plus longue échéance, d’une coopération institutionnelle et la participation à des programmes de recherche européens.